ORDIF

L’Observatoire régional des déchets en Île-de-France - Département déchets de L’Institut Paris Region

œuvrant en Île-de-France

Créé en 1992 par l'État et la Région Île-de-France, l’Observatoire réunit l'ensemble des partenaires représentant l’État à travers ses organismes déconcentrés, notamment la DRIEE et la direction régionale de l’ADEME, la Région Île-de-France et ses structures associées, les conseils départementaux, les intercommunalités ayant une compétence dans la gestion des déchets, les opérateurs privés, les chambres consulaires, les éco-organismes, les associations de consommateurs et de protection de l’environnement. L’ORDIF associe l’ensemble de ses membres pour remplir ses missions dans le cadre d’un processus collaboratif.

L'observatoire régional des déchets a pour objet de développer la connaissance et la diffusion d’informations et d’élaborer des indicateurs en matière de déchets en Île-de-France. Sous l’impulsion du Conseil Régional d’Île-de-France, l’ORDIF a rejoint, en 2017, L'Institut Paris Region sous la forme d’un département dédié (Département Déchets - ORDIF) bénéficiant d’une gouvernance spécifique qui regroupe l’ensemble de ses partenaires

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L’Observatoire régional des déchets en Île-de-France - Département déchets de L’Institut Paris Region

œuvrant en Île-de-France

Créé en 1992 par l'État et la Région Île-de-France, l’Observatoire réunit l'ensemble des partenaires représentant l’État à travers ses organismes déconcentrés, notamment la DRIEE et la direction régionale de l’ADEME, la Région Île-de-France et ses structures associées, les conseils départementaux, les intercommunalités ayant une compétence dans la gestion des déchets, les opérateurs privés, les chambres consulaires, les éco-organismes, les associations de consommateurs et de protection de l’environnement. L’ORDIF associe l’ensemble de ses membres pour remplir ses missions dans le cadre d’un processus collaboratif.

L'observatoire régional des déchets a pour objet de développer la connaissance et la diffusion d’informations et d’élaborer des indicateurs en matière de déchets en Île-de-France. Sous l’impulsion du Conseil Régional d’Île-de-France, l’ORDIF a rejoint, en 2017, L'Institut Paris Region sous la forme d’un département dédié (Département Déchets - ORDIF) bénéficiant d’une gouvernance spécifique qui regroupe l’ensemble de ses partenaires

Les missions de ORDIF

Déchets

L’ORDIF constitue un outil d’analyse et de suivi permanent permettant d’élaborer des choix techniques notamment dans le cadre des politiques publiques. Dans ce but il crée, développe, gère et met à jour une base de données susceptible d’être intégrée aux différents systèmes d’informations géographiques régionaux. Il réalise également des bilans, synthèses, enquêtes, documents rédigés, graphiques et cartographiques, sur la base des différents éléments d’information scientifique et technique, mis à disposition par les différents partenaires et professionnels concernés. L'ORDIF favorise les échanges entre les différents acteurs publics, associatifs et privés intervenant dans son champ de compétences.

LES MÉTIERS DE ORDIF

LES MÉTIER DE ORDIF

#Observation
#Animation de réseau
#Formation et sensibilisation

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15 rue Falguière,

75740 Paris Cedex 15

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Les dernières nouvelles de ORDIF

13.06.2024 |

Tarification incitative : quelles nouvelles opportunités pour les territoires ?

Afin d’accélérer les efforts en termes de réduction des déchets et d’amélioration des performances de tri, la tarification incitative permet aux usagers du service public de gestion des déchets de payer en fonction de leur production réelle. La loi de transition énergétique pour une croissance verte a ainsi fixé un objectif de généralisation de ce mode de financement : 25 millions de Français devront être soumis à une tarification incitative en 2025 dont 1,8 million en Île-de-France. 

En concertation avec les élus en charge de la collecte et du traitement des déchets franciliens, la Région Île-de-France a décliné dans le Plan régional de prévention et de gestion des déchets (PRPGD) d’Île-de-France cet objectif pour son territoire : 1,8 million d’habitants en 2025 (15% de la population) et 3,6 millions d’habitants en 2031 (30% de la population). 

En parallèle, après plusieurs tentatives menées par les associations de collectivités de faire évoluer la règlementation relative au déploiement de la tarification incitative, la nouvelle loi de finances 2024 comporte des nouveautés majeures qui devraient faciliter le développement de ce mode de financement. 

Cette deuxième chronique propose de rappeler tous les grands enjeux autour de la mise en œuvre de la tarification incitative mais également de détailler le potentiel supplémentaire de son déploiement en Île-de-France.  

04.04.2024 |

Pollueur-payeur : pression accrue sur les installations franciliennes

Chronique de l’économie circulaire n°1
La loi de finances pour 2024 a apporté une nouvelle pierre à la fiscalité des sites de traitement de déchets résiduels. Sont pénalisés les déchets qui n’ont été ni évités, ni triés pour leur recyclage. Ils sont orientés vers l’incinération et l’enfouissement.
Cette première chronique rappelle les enjeux essentiels autour des augmentations de la taxe générale sur les activités polluantes (TGAP) appliquée au secteur des déchets et examine l’impact de la nouvelle loi de finances sur la mise en décharge en Île-de-France. 

20.12.2023 |

5,6 millions de tonnes collectées : baisse des déchets ménagers en Île-de-France

Le bilan régional de l’année 2022. Avec 452 kg de déchets par habitants en 2022 (y compris les déchets produits par les petits professionnels), la région connaît une baisse significative après le pic de 2021 (476 kg/hab.) : -270 000 tonnes (-24kg/hab.). Le ratio retrouve le niveau de l’année 2020 pourtant marquée par la crise covid.

16.11.2023 |

Financement du service public des déchets : vers plus de transparence

Les intercommunalités franciliennes utilisent massivement la taxe d’enlèvement des ordures ménagères (TEOM) pour financer le service public de prévention et de gestion des déchets. Cette taxe est souvent critiquée pour son opacité, et de nombreuses intercommunalités s’interrogent aujourd’hui sur le devenir de leur financement « déchets ».

L’Institut Paris Region a développé de nouveaux indicateurs pour éclairer ces enjeux et mieux comprendre qui paie quoi.

25.09.2023 |

Hausse du coût du service public des déchets en Île-de-France : quelles perspectives ?

Le service public de prévention et de gestion des déchets est de plus en plus soumis à des augmentations de coûts. La hausse de la fiscalité s’appliquant aux déchets, l’inflation et l’augmentation de la production de déchets sont autant de facteurs pesant sur un service public qui peine à diminuer ses coûts et à améliorer ses performances.

16.03.2023 |

Déchets de meubles franciliens : la moitié du taux national de collecte séparée

La filière des déchets d’éléments d’ameublement (DEA) a permis de collecter séparément 87 000 tonnes en Île-de-France.

Les quantités collectées séparément étaient en croissance les premières années de mise en place de la filière (2017-2019). Après une année 2020 en creux liée à la pandémie, la collecte séparée 2021 peine à retrouver son niveau d’avant Covid. Les deux tiers correspondent à des bennes dédiées aux meubles des ménages dans les déchèteries publiques (branche dite “opérationnelle”).

19.01.2023 |

Déchets d’équipements électriques & électroniques : près de la moitié des déchets d’appareils captés

La filière des déchets d’équipement électrique et électronique (DEEE) a permis de collecter 86 196 tonnes en Île-de-France.

Les quantités collectées sont en croissance forte et continue depuis 2015. L’intégration des filières métaux traditionnelles dans le dispositif REP a en effet permis de doubler l’identification de gros et petits équipements.
La distribution permet le tri de 27% des appareils captés et le service public 23%. Ce dernier est cependant par ailleurs le réceptacle d’une quantité supérieur de DEEE non triés échouant dans la poubelle résiduelle.
Malgré la croissance du captage, l’Île-de-France n’atteint pas la moitié de l’objectif règlementaire de capter un tonnage de DEEE correspondant à 65% d’appareils mis sur le marché (objectif estimé à environ 180 000 tonnes).
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